Plus de 200 citoyens, professionnels et acteurs de la vape se sont réunis le 4 novembre dernier, Place de la Bourse à Bordeaux, pour dire NON à l’Article 23 du Projet de Loi de Finances (PLF) 2026. Cette mobilisation, sous l’impulsion de la filière et des équipes VDLV, a envoyé un signal politique et médiatique fort en défense de la vape, solution pour les fumeurs désireux de sortir du tabagisme.

Une mobilisation suivie par l’ensemble des collaborateurs VDLV en Nouvelle-Aquitaine et par les médias locaux

La journée du 4 novembre restera une première date clé pour la filière de la vape. Avec plus de 200 participants (chiffre communiqué par l’organisation) et face aux nombreuses incertitudes réglementaires, Bordeaux a prouvé sa détermination et fait entendre haut et fort ses inquiétudes.
L’impact de cet événement a été amplifié par la forte présence de nombreux médias (presse quotidienne régionale et digitale, médias spécialisés, radios et chaînes et TV locales) qui ont largement relayé les revendications de l’ensemble des personnes mobilisées. Cette couverture médiatique est cruciale pour porter le message au-delà de notre seule communauté et faire réagir les politiques.

▶️ Revoir l’intervention de Charly Pairaud, Directeur Général de VDLV, sur l’urgence de la situation Place de la Bourse :

• En savoir plus sur le mouvement « Ne tuez pas la vape »
• Signez la pétition de la FIVAPE

L’engagement infaillible des équipes de VDLV

Cette mobilisation fut également un moment fort pour VDLV. Nous tenons à saluer et remercier chaleureusement nos collaborateurs qui, sans faille, se sont mobilisés en nombre pour cette cause cruciale.

Qu’ils aient participé à l’organisation et à la communication en amont, qu’ils aient pris la parole, ou qu’ils aient simplement été présents dans le cortège, leur engagement démontre l’importance de cette lutte pour les emplois de la filière et la santé publique. Leur présence a symbolisé notre détermination collective à défendre notre modèle éthique et responsable, garant de la qualité et de l’efficacité de la vape française.

Rappel du contexte et des revendications du mouvement national « Ne tuez pas la vape »

Cette mobilisation s’inscrit dans un contexte d’urgence face au Projet de Loi de Finances (PLF) 2026. L’objectif était de contester fermement l’Article 23 « vape », qui représente une triple menace pour la santé publique, l’emploi et l’économie. Pour rappel, celui-ci vise à :

1. Instaurer une nouvelle taxe punitive sur les produits du vapotage, augmentant significativement leur prix et risquant de décourager les fumeurs aux revenus modestes.
2. Interdire la vente en ligne menaçant des milliers d’emplois et l’accès aux produits pour les consommateurs des zones rurales par exemple.
3. Imposer un changement de statut aux boutiques spécialisées de vape, nécessitant l’obtention d’un agrément d’État obligatoire (type débit de tabac) pour la commercialisation menacerait l’indépendance de la filière et assimilerait la vape – outil de réduction des risques – aux produits qu’elle combat.

La filière l’affirme : « La vape n’est pas le problème, elle fait partie de la solution. » L’Article 23 est perçu comme un contresens, risquant de renvoyer les vapoteurs vers le tabac.

▶️ Relire notre communiqué de presse sur le mouvement national
▶️ Lire notre communiqué de presse sur ce qu’il c’est passé lors de la mobilisation du novembre à Bordeaux 
▶️ Contacter notre service presse

Le mouvement continue partout en France : continuons à faire entendre notre voix !

La mobilisation du 4 novembre à Bordeaux a été forte et la première du mouvement. Celui-ci se poursuivi en région le mercredi 5 novembre avec des rassemblements majeurs dans les villes suivantes : Aix-en-Provence, Cherbourg, Lille, Orléans, Strasbourg, Vannes. 

Le combat n’est pas fini et continue désormais sur le plan politique à l’Assemblée Nationale, mais la voix collective des citoyens reste indispensable.

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Signez et partagez la pétition de la FIVAPE !

Pour que notre message soit entendu par le Gouvernement et les parlementaires, il est crucial de continuer à faire grimper le nombre de signatures sur la pétition nationale.

Chaque signature compte pour défendre l’emploi, la santé publique et la réduction des risques face à cette menace réglementaire !

JE SIGNE MAINTENANT LA PÉTITION « VAPER N’EST PAS FUMER »

Le succès de la mobilisation à Bordeaux, amplifié par la présence de nos équipes et des médias, est un premier signal fort envoyé aux décideurs. Cependant, la partie n’est pas gagnée.

L’Article 23 « vape » du PLF 2023, représente clairement une menace existentielle pour notre filière indépendante et surtout pour la santé des 4 millions de vapoteurs français et les 20 000 emplois. Nous devons maintenir la pression et démontrer que la vape est un véritable outil de santé publique, et non un simple produit fiscal.

Ensemble, par la signature massive de la pétition et par le relais de cette actualité, nous devons faire front. Continuons à nous mobiliser pour que la raison et la science prévalent !